Vendredi 01.
Nous sommes au mouillage de Sainte Anne en Martinique et je n’en reviens toujours pas d’être là !!! Pour ceux et celles qui ont suivi nos aventures jusqu’ici, je crois qu’ils comprendront aisément mon sentiment.
Quoi qu’il en soit, nous sommes bel et bien là et tant qu’un crétin ou l’autre n’aura pas la mauvaise idée de venir se coller à nous, nous continuerons à baigner dans le plus pur bonheur. La tempête de fin d’année ? Cela a certes bien soufflé durant toute la journée mais cela restait dans des limites très acceptables, avec des hauts et des bas.
Journée de farniente après une semaine bien chargée.
Samedi 02.
Malgré un vent fort soutenu (et donc, un plan d’eau agité), nous avons été plonger (-19.70 m – 52’ – 27°) au « Boucanier » comme la grande majorité des clubs de plongée locaux. Par bonheur, lorsque nous nous sommes mis à l’eau, les plongeurs déjà sur site, sortaient de l’eau.
Nous sommes partis « épaule gauche », histoire d’une fois changé et alors même que d’habitude, nous sommes souvent déçus par ce tombant s’enfonçant dans le mouillage. Ce fut notre jour de grâce car nous avons beaucoup aimé, une bonne visibilité étant peut-être une explication.
Comme nous plongeons avec des 12 l./200 bars acier de location, nous devons nous adapter à leur encombrement, à leur poids (!) mais aussi à leur moins grande capacité en air que nos carbones 10 l./300 bars . En clair, nous avons grande hâte de récupérer le plus rapidement possible nos deux petits bijoux.
Dimanche 03.
Même si on pensait en se réveillant que la « tempête » était derrière nous, elle était encore bien présente au point d’abandonner toute idée de nager, de plonger ou de remplacer l’élingue avant de notre annexe, qui montre des signes inquiétants d’usure. En bref, nous nous apprêtions à passer une journée de farniente … jusqu’à ce qu’en milieu d’après-midi, le vent soit tombé !!
Du même coup, le mouillage se calmait et nous entamions notre travail « élingue ». Pas évident mais nous y sommes arrivés avec une pause imposée par le passage d’un grain. Reste maintenant à savoir si nos réglages resteront bon, dans le temps : en principe, oui car il s’agit de dynema mais avant de couper le bout, nous attendrons 24 heures.
Pour le surplus, nous envisageons de moins en moins de perdre du temps à caréner le bateau d’autant que plus le temps passe et moins le carénage présente de l’intérêt (nous sortons le bateau à Grenade, le 07 juin). Il s’ensuit que nous allons postposer la sortie de l’eau du bateau jusqu’à ce que nous soyons en possession de toutes les pièces de rechange nécessaires pour le propulseur avant. Nous sommes vraiment trop bien au mouillage pour nous pourrir la vie au sec.
Lundi 04.
Très belle journée avec un vent encore légèrement soutenu.
Nous attendions deux techniciens et en finale, celui de l’airco n’est pas venu en raison d’une côte cassée en cours de journée et d’un Patrice (le patron) opéré des genoux !! Décidément … déjà Craig de « Grenada Marine » s’était fait opérer récemment d’une hanche. Nous n’avons plus droit qu’à des éclopés !!
Jean-Emmanuel dit Mano de « Caraïbe Marine » est venu remplacer les membranes de notre déssalinisateur. Ensuite, il a regardé notre problème d’éclairage du compas (ampoules à remplacer) et notre problème d’enceinte extérieure Bose (enceinte à remplacer … aie, cela va faire mal).
Avec tout cela, notre journée fut totalement bloquée !
Mardi 05.
En voulant descendre l’annexe, Ann en a oublié une élingue diagonale ! La seule solution aurait été de remonter l’annexe ce qui aurait détendu l’élingue mais au lieu de cela, elle l’a défaite sous tension. Résultat des courses, Ann est tombée à l’eau en se heurtant au passage, le dos sur le rebord de la jupe arrière. Aie. Très, très douloureux.
A 8.20 heures, Guillaume de « Caraïbe Marine » était à bord pour jeter un œil de professionnel à notre passerelle hydraulique : pas de verdict certain mais de fortes chances qu’il s’agisse d’un problème d’électrovanne. A ce stade, Guillaume ne voit pas l’utilité de commander de nouvelles pièces …
En le cadre de la plongée, nous devons pour notre fédération, impérativement passer chaque année (au-delà de 55 ans), un électrocardiogramme à l’effort ! Nous l’aurions réalisé à Grenade si cela avait été possible mais nous n’en avons pas trouvé le moyen ! Aussi, attendions nous avec impatience d’arriver en Martinique.
Oui mais voilà, réaliser cet examen s’avère beaucoup plus ardu que nous ne le pensions car il nous faut prendre rendez-vous auprès d’un service de cardiologue qui n’a pas le téléphone (si, si, je vous assure que c’est vrai et pourtant, ce service est installé dans une petite clinique privée, la clinique Saint Paul, et son secrétariat dispose d’un PC) … il ne reste plus que la solution de se rendre sur place, ce qui nécessite la location d’une voiture !!!
En finale, Ann décidait de faire la démarche aujourd’hui même tandis que je restais au bateau n’ayant aucune envie de me taper cette corvée. Pour l’accompagner, nous sommes passer prendre Valérie dont le mari ,skipper professionnel, est parti en mer pour 10 jours. Une occasion pour elle de se changer les idées.
La mer étant belle même si le ciel se partageait entre nuages et soleil, j’ai décidé d’aller plonger (-24.40 m – 48’ – 27°) une nouvelle fois, au « Boucanier » avec A. Lone qui le moins que l’on puisse en dire, n’est absolument pas contrariant. En début de plongée, nous avons eu droit à une visibilité exceptionnelle mais peu avant de faire demi tour, un « brouillard sous-marin » a fortement restreint la visibilité !!!
Sur le retour, la problématique demeurait de ne pas louper l’amer qui indique le moment où il faut bifurquer à 90° pour remonter sur le plateau et retrouver l’amarrage de l’annexe. En le cas d’espèce, il n’est pas difficile à trouver pour autant tout de même que l’on plonge avec un peu de méthode. Or, pas plus que A. Lone, je ne reconnais jamais les paysages que j’ai pourtant vus à l’aller ! Il faut dire qu’à chaque profondeur, le décor est différent et que trop souvent, j’ai le nez collé sur le fond …
Je vous rassure de suite, malgré un petit pincement au cœur, j’ai retrouvé du premier coup, mon amer. La suite de la plongée n’a pas posé le moindre problème et nous retrouvions le bord avec le sentiment agréable du « je l’ai fait » … euh non, « nous l’avons fait ».
Mercredi 06.
Il fait beau et il y a du vent. Ma hantise quotidienne est de voir arriver au mouillage de nouveaux bateaux. J’ai d’ailleurs, constamment l’impression qu’il y a plus de nouveaux arrivants que de départs et cela me préoccupe. Mais, ma seule vraie hantise reste que l’on nous fiche la paix en ne venant pas mouiller trop près de nous. J’ai été traumatisé (au point de réfléchir à abandonner définitivement ce mouillage) par la saison passée où tous les jours, nous étions enquiquinés par l’un ou l’autre. De surcroît, j’ai vu l’autre jour, au ponton essence, « Little Cloud » qui nous a gâché l’existence la saison passée, durant des mois ! Il est donc toujours dans le secteur alors que je le croyais reparti en Méditerranée. Grrrr.
Jeudi 07.
Il fait beau avec du soleil, quelques nuages et de temps en temps, une petite ondée : une météo de Martinique. Le vent est moyen à fort comme le plus souvent en cette saison.
Je pensais aller plonger avec A. Lone mais Ann a pris contact avec Philippe de « Basilic » que nous avions rencontré à Grenade, en le cadre de la plongée avec « Scubatec ». Excellent plongeur, nous avons convenu d’aller plonger ensemble ce vendredi.
Journée très calme à bord … Ann souffre toujours autant du dos suite à sa chute et aucune amélioration n’est en vue !
Vendredi 08.
Nous continuons à nager dans le bonheur … enfin, plus pour moi que pour Ann qui est bloquée du dos depuis sa chute en voulant descendre l’annexe. Pour ma part, je suis plus souvent sous l’eau qu’au-dessus de l’eau. Le dream.
Et pourtant ce matin, la météo maussade me poussait à annuler ma plongée avec Philippe !!! Mais comme je devais passer chez le bijoutier du « Marin », j’ai fait le petit détour par son bateau pour avancer l’heure de notre rendez-vous. En effet, comme « Basilic » est amarré au « Marin », le plus simple consistait à le prendre avec moi, sur le retour. Son annexe est trop petite pour venir avec elle jusqu’au spot de plongée.
Une fois de retour à notre bord, je me suis préparé et j’ai chargé mes affaires de plongée dans l’annexe sans plus réfléchir à la météo. Nous sommes ensuite partis à deux pour le « Grand Mur » que je n’ai plus visité depuis le 28.01.20 !!!
Pas à dire mais il s’agit d’un niveau technique de plongée bien supérieur au « Boucanier » mais quelle plongée ! Profitant d’une visibilité extraordinaire, nous avons pu apprécier à sa juste valeur, la palette de couleurs caractéristique de ce (tombant). Seule ombre au tableau, notre amer a totalement disparu ce qui m’a obligé à planter mon couteau dans le sable (-27 m) pour disposer d’un point de repère sur le retour. Je réfléchis à confectionner un nouvel amer mais le problème réside en ce que tout ce qui se gonfle, supporte mal la pression …
Ne disposant plus que d’une bouteille de location de 12l. j’ai eu le sentiment de devoir abréger bien trop tôt notre plongée (-30.80 m – 48’ – 27° – 5’ à -3m) mais évoluant quasi constamment à -27 m, nous n’avons pas eu d’autre choix. Merci à Philippe de m’avoir accompagné car il s’agit d’une plongée très facilement piégeuse.
En regardant la télévision, j’ai senti que quelque chose me chatouillait avec insistance, le bas de la jambe !! Par la suite, j’ai découvert qu’il s’agissait d’un gecko jaune qui s’était réfugié dans un coin des marches d’escalier !!! C’est la seconde fois que nous avons à bord, un tel passager clandestin sauf que le premier était resté sur le pont et était mort de faim. Nous avions retrouvé son corps desséché quelques semaines plus tard. En le cas d’espèce, j’ai appelé la SPA qui est venu le prendre un peu plus tard.
Samedi 09.
Le vent souffle en tempête et du même coup, le plan d’eau est agité. N’écoutant que mon courage, je suis allé chercher au débarcadère de « Sainte Anne », les lasagnes que nous avions commandées. Et comme une lasagne se déguste avec une bonne baguette tradition, je suis passé par la boulangerie.
Sur le coup de midi, c’est Olivier que j’ai été cherché au débarcadère. Nous avons des capots de pont à l’avant dont l’étanchéité laisse parfois à désirer et Olivier s’était présenté comme l’homme de la situation lors d’une précédente intervention.
Ensuite, ce fut au tour de Ann d’aller voir son ostéopathe qui lui a remis en place son bassin. Il ne reste plus qu’à espérer que maintenant, elle est sur la voie de la guérison.
Au total, j’ai réalisé pas moins de cinq aller/retour bateau/débarcadère !
Dimanche 10.
Les conditions météo ne se sont pas améliorées et il semblerait qu’on en aie pour toute la semaine. Ce type de temps est caractéristique de la région jusqu’en mars ! La saison passée fut l’exception qui confirme la règle.
Si j’avais envisagé timidement d’aller plonger avec A. Lone, je pense lui préférer une petite journée de farniente. Il n’est pas évident de mettre l’annexe à l’eau en ces conditions et encore moins, de se déplacer seul à bord. Déjà, hier, j’en ai eu un petit aperçu.
Lundi 11.
Ann a passé sa matinée à appeler tous azimuts et sa moisson fut assez bonne : on progresse dans tous les domaines techniques mais les problèmes n’en sont pas réglés pour autant.
Nous avons eu la visite du technicien Webasto (airco) qui a confirmé que si le fusible sautait, le compresseur n° 2 en était bien le coupable. Sans être un grand spécialiste en la matière, j’avais déjà compris cela depuis longtemps … Comme l’installation a l’âge du bateau (10 ans), il reste maintenant à savoir s’il est encore possible de trouver un compresseur de ce modèle ou s’il faut modifier l’installation car ce n’est plus le même gaz qui est utilisé actuellement … C’est déjà assez moche comme cela de vieillir mais quand en plus, on vous dit que l’on ne fabrique plus ce modèle, c’est un peu un double enterrement.
Malgré un plan d’eau assez agité, je me suis fait mon 100 mètres brasse à contrevent : pas une sinécure ! Sur le retour, j’ai aperçu Toto (barracuda d’un bon mètre) qui montait la garde sous la coque. Cela m’a fait plaisir de le revoir car toute vie aquatique semble avoir déserté le mouillage !!
Comme Ann m’a fait part le matin même qu’une nageuse s’était fait bouffer la jambe par un requin à Nevis alors que l’autre jour, c’était une attaque de squale à Saint Martin qui était à déplorer, je n’avais pas l’esprit tranquille en nageant. Sans cesse, je faisais attention à mes arrières tout en me demandant l’attitude à adopter en cas de mauvaise rencontre. Sous l’eau, on peut toujours se défendre d’autant que les attaques de squale sur plongeur sont extrêmement rares mais en surface …
Mardi 12.
Pour une fois, le plan d’eau n’était pas trop agité et le vent modéré. Seule ombre de taille au tableau … toute la matinée fut animée de grains en chapelet ! L’envie d’aller plonger était bien présente et puisque Ann, toujours fort handicapée du dos, assurait la sécurité en surface, j’ai entrevu la possibilité de faire un « one way ». Pourquoi ne pas explorer le « petit mur » et voir où il menait ??
Si Ann n’était pas très chaude à mon idée, A. Lone, lui, estimait qu’il s’agissait d’une occasion unique de « plonger autrement ». La majorité l’emportant, le cap a été mis sur le « petit mur » entre deux grains. Avant que le grain suivant ne nous arrose, je me suis mis à l’eau avec A.Lone …
Au passage, à-17.80 m, j’ai mis en place un nouvel amer de ma conception qui je l’espère, résistera au temps … et aux autres plongeurs !
La visibilité n’était pas bonne : le brouillard londonien obscurcissait l’horizon ! Dommage car le spectacle en valait réellement la peine : magnifique enfin … tant que je suivais le « petit mur » car après, je ne savais plus très bien où j’en étais ! C’était à la fois, lunaire et inquiétant à la fois : difficile de se raccrocher à quelque chose de « bien définissable » comme un tombant ou un plateau. Cela m’a fait davantage penser à un « garden » encore qu’il ne s’agissait pas à proprement parler d’un « garden ». La visibilité limitée n’aidait pas à se faire une idée précise de la topographie des lieux. En ces circonstances, il n’y avait réellement plus que mon fidèle compas pour ne pas me faire perdre totalement la boule.
Quand je me suis rendu compte que j’avais la fâcheuse tendance à descendre (-27.30 m – 47’ – 27°), j’ai résolument pris la décision de remonter pour éviter d’avoir des paliers obligatoires. Oui mais … en quelle direction aller pour retrouver un peu moins de profondeur alors que tout semblait plane ! J’ai donc finalement pris plein Est et un peu plus tard, le fond remontait enfin. Je retrouvais d’ailleurs, du même coup, les coraux.
A – 10 m. j’ai lancé mon parachute. La question n’était pas de l’envoyer mais de savoir si quelqu’un le verrait en surface. Pendant tout le palier de sécurité (-5 m – 5’), j’ai eu le temps de stresser tranquillement car manifestement, il n’y avait pas une seule coque en vue en surface ! Mais en fait, ma plus grande préoccupation résidait à éviter que le courant ne m’emporte trop loin au large.
Quand j’ai crevé la surface, je suis tombé quasi nez à nez avec … le tableau arrière d’un bateau de plongée qui avait pris notre emplacement à la bouée !!!! Eh oui, j’étais parvenu comme un bon vieux cheval, à retrouver tout seul le chemin de l’écurie. Sauf qu’avec une si médiocre visibilité, je ne m’étais même pas rendu compte que j’en étais revenu à mon point de départ ! Mais chuuuuuuuuuut.
Quand Ann qui était dans mon dos, m’a appelé, je fus extrêmement soulagé. Par contre, remonté à bord de l’annexe s’est révélé beaucoup plus physique que je ne l’aurais cru, tout simplement parce que le courant m’éloignait constamment de l’annexe.
Mercredi 13.
Vent faible à modéré, grains peu nombreux … que nous faut-il de plus ? Oui … bon … cela bouge un peu beaucoup mais il est évident que nous ne sommes pas exactement dans le secteur le mieux protégé du mouillage ! Il y a de la place plus près de la côte mais le risque d’être importuné par un voisin est aussi beaucoup plus grand, aussi comme nous sortons le bateau de l’eau, mardi prochain, nous restons à notre emplacement.
Matinée « courses techniques » fort chargée : nous progressons, nous progressons. Cette fois, ça y est … nous avons commandé notre nouveau ice maker. L’ancien réfrigère très bien mais l’eau coule de partout !
Petit détour par « Brocéliande » amarré à la marina du « Marin » où notre ami Toto nous attendait avec les affaires que notre fille, Marie-Charlotte, lui avait remis pour nous, au départ de Bruxelles. Il y en avait tout de même pour 11 kilos de marchandises diverses. Toto est une crème d’ami toujours prêt à vous rendre service.
Nous aurions encore dû faire quelques courses d’avitaillement mais Ann avait trop mal au dos et pour ma part, j’étais pressé de rentrer au bateau pour déballer tous nos cadeaux du Père Noël.
Jeudi 14.
Journée « technicien » avec l’arrivée en début d’après-midi de Jean-Emmanuel dit « Mano » de « Caraïbe marine ». Avec beaucoup d’habilité et un sens certain de l’équilibre, il nous a changé deux leds défectueux de barre de flèches du mât (à hauteur de la 3è et 1ère barre de flèche). La prise d’eau de la jupe qui coulait, a été remplacée ainsi que le mitigeur de la cuisine qui rêvait de prendre sa retraite. Pour ma part, j’ai remplacé la sonde Vega 14 du tank journalier. Une bien belle journée avec ce sentiment de satisfaction du service accompli.
La bonne nouvelle du jour reste que nos bouteilles carbone ont passé avec succès le test de la réépreuve. Ouuuuf.
Vendredi 15.
Ce matin, « Mana » après une « horrible remontée » (gust à 35 nœuds, pluie et risques de collisions avec des pêcheurs), est arrivé à « Sainte Anne ». Nous aurions normalement dû les voir mais la météo exécrable (grains, bruine, pluie) ne l’a pas autorisé.
En constatant que notre sonde Vega 14 suintait de gasoil, je me suis mis en devoir de recommencer mon travail et comme malgré tous mes efforts, il m’a été impossible de visser suffisamment la sonde en le logement de la vanne, j’ai entrepris d’agrandir l’accès à ladite vanne. Après ce travail fastidieux, tout s’est révélé beaucoup plus simple.
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